Transcription
Il y a quelques mois, un ami à moi m'a appelé. Il m'a dit : « J'ai un nouveau boulot. » Et j'ai dit : « Oh, félicitations ! Tu travailles où maintenant ? » Il m'a dit : « En fait, je suis le secrétaire exécutif adjoint de Président Nelson. » Et j'ai dit : « Wow ! C'est un super boulot. J'aime beaucoup ton patron. » Et il m'a répondu : « Oui, je l'aime aussi. En fait, il veut te parler. » J'ai dit : « D'accord. Quand ? » Il m'a dit : « Demain matin à 10 heures ? » Et j'ai dit : « D'accord. Tu peux me donner des détils ? » Il a ri et m'a dit : « Non. Viens, c'est tout. » On a raccroché, j'ai regardé ma femme. Je suis très intuitif pour ce genre de choses et je me suis dit : « Ça fait cinq ans que je suis dans le Conseil général des jeunes gens. L'ancien présidence va bientôt être relevé. Le président Nelson est un homme tellement remarquable, n'est-ce pas formidable ? Il va nous dire : « Merci pour mes cinq ans de service. » Tu vois ? Et il va me laisser repartir. C'est très gentil de sa part.
Je suis donc entré, complètement ignorant. J'étais dans son bureau avec ma femme depuis environ 15 secondes et il a tiré une chaise et s'est assis genou à genou avec moi et il a dit, « Eh bien Steve, nous vous avons fait venir ici en fait pour vous appeler à être le président général des jeunes gens. » Mon cerveau s'est éteint à ce moment-là... voilà à quel point je suis en harmonie avec l'esprit, je n'ai pas du tout vu ça venir. Je crois que j'ai un peu bégayé et il m'a dit : « Eh bien, acceptez-vous le poste ? » J'ai répondu : « Bien sûr, Président Nelson. Mais avec crainte et tremblement. »1
Il s'est renversé dans son fauteuil, un peu dégoûté, et il a dit : « J’espère que ça sera aussi avec un peu de joie! » J'ai répondu : « Je suis sûr que la joie viendra quand le choc sera passé. » Et il m'a dit : « Il est important que vous soyez ici. Et il est important que vous compreniez cela, parce que c'est un moment très important pour l'Église. Vous savez, nous sommes à la fin des temps et c'est un moment très important pour la jeunesse de l'Eglise. » Puis il s'est levé et a dit : « Tu sais, je les ai appelés. Je les ai invités à servir dans les bataillons du Seigneur. » J'ai dit : « Oui, Président Nelson, je sais que vous l'avez fait, et je sais qu'ils écoutent. » Et il a dit: « Eh bien, je l'espère. Je sais qu'ils sont nombreux à le faire parce que c'est un moment de rassemblement si important et que l'occasion pour eux de s'engager dans ce travail de rassemblement n'a jamais été aussi grande auparavant. » Puis il a parlé pendant 10 minutes sans arrêt ! Vous connaissez le président Nelson, à 95 ans, et tout son visage s'est illuminé d'enthousiasme pendant qu'il me parlait de ce travail final du Rassemblement, et de son déploiement de la jeunesse de l'Église pour l'accomplir.
Cette chose dont les apôtres et les prophètes ont parlé depuis qu'il y a des gens sur cette Terre, en attendant la fin de la partie, quand la Terre sera roulée comme un livre et que le Sauveur reviendra. Je suis sorti de cette salle avec une compréhension et une connaissance intenses, confirmées par l'esprit, que je partage avec vous. C'est qu'il vient. Il vient vraiment, et c'est imminent. Je ne sais pas ce que cela signifie, tout ce que je sais, c'est qu'il y a un sentiment d'urgence chez les frères.
Références